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Le père verra son fils demain. A moins qu'il ne soit changé d'avis d'ici là et que soient laissées des consignes à la crèche. Oui on peut faire ça. Laisser des consignes à la crèche pour qu'un papa ne puisse venir prendre son fils. Sans d'ailleurs à avoir véritablement à se justifier ou expliquer. Cela a déjà été évoqué. J'ai prévenu que si cela devait arriver il faudra certainement appeller la police pour me faire sortir des lieux. Egalement qu'il y aura des gens pour photographier la scène. Il serait en effet dommage de ne pas conserver de souvenir d'un tel instant. Mais en attendant le père savoure ce moment ... d'attente. Et puis quel privilège n'est-ce pas pour cet enfant que de pouvoir peut-être passer la soirée avec son père demain. Mais mon fils est un petit chanceux car nous nous somme déjà vu trois jours au cours de ce mois de mai. Trois jours. Trois petits jours et puis s'en va. C'est peu trois jours non ? NON ? C'est peu. Intolérablement peu. Mais vous savez, il y a des papas qui en cet instant n'ont pas encore vu leurs enfants de tout le mois. En tous cas c'est amusant parcequ'un jour il me sera peut-être reproché de n'avoir pas été assez présent ou de ne pas m'être suffisament investi dans son éducation. Mais en attendant les doudous dorment jusqu'à demain ... |
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Non, cette élégante citation n'est pas celle d'un enfant ! :-)
Pas tous les jours facile d'être papa, moi je dis !
Pourquoi s'arrêter à si peu ?
Parcequ'il ne faut pas voir là un propos qui se voudrait blessant mais seulement l'atteinte qui est faite à l'image du père.
Atteinte de peu de portée pourrait-on répondre.
Mais quand ce dérisoire se répète régulièrement et systématiquement sous un forme ou sous une autre et que l'image qui est donnée de son père à un enfant ne se nourrit que de dénigrement et de déconsidération, je pense qu'il faut s'y arrêter.
En d'autres lieux et circonstances, l'entreprise ou l'école par exemple, de tels propos sont sanctionnés.
Est-ce que vous imaginez votre enfant répondre ainsi à un professeur qui aurait commis l'erreur de le contredire ?
Est-ce que vous imaginez pouvoir impunément répondre cela à votre subordonné ou votre patron s'ils ne sont pas d'accord avec vous ? Accepteriez vous que l'un ou l'autre vous réponde de cette façon parceque vos remarques ou vos questions déplaisent ?
Pourquoi alors serait-ce anodin ici ?
Qu'est-ce d'autre que la cause des pères sinon de devoir lutter au quotidien contre mille formes de dénigrement, d'exlusion, d'éloignement, de chantage, de mensonges.
Des petits rien si anodins chacuns qu'on y prêterait à peine attention. Si mesquins souvent qu'on oserait à peine en parler.
Ne pas réagir conduit à une banalisation de ces comportements, de ces attitudes ou de ce type de remarque.
En lisant l'histoire des uns et des autres sur les forums ou en discutant avec d'autres pères vivant des situations equivallentes, je retrouve souvent ces mêmes choses.
Prises à part, racontées comme ça, ces scènes ne sont pas si graves.
C'est leur accumulation, leur répététion, leur systématisme qui crée le problème.
Le problème madame monsieur le juge, voyez vous, c'est qu'avec ce type de réponse ou de remarque, j'ai juste un peu de mal à être papa. Parceque savez vous, ce que je veux, c'est être simplement le papa de mon fils !
Et ils sont nombreux je crois à ne vouloir que cela.
La loi a consacré la co-parentalité mais n'a prévu aucune sanction quand elle n'est pas appliquée.
Les juges ne semblent pas prendre la mesure du pouvoir qui est laissé à la mauvaise volonté du parent qui a la garde et du peu de garde fous existants contre les abus et les dérives que cela peut entrainer.
J'aimerais que des milliers de blogs s'ouvrent. Que les pères utilisent le web comme tribune pour raconter chaque jour ce qu'ils vivent. Qu'ils en diffusent l'adresse partout autour d'eux.
Je suis certain que le travail qui est fait en amont par les associations, certains politiques ou certains juges pour que les choses changent en sera facilité.
Le silence, la discrétion, la honte, la pudeur pénalisent cette cause des pères.
Et la cause des pères, c'est l'intérêt de nos enfants.
Nuire à l'un des parents c'est nuire à l'enfant.
Un peu écoeuré parfois. Ce qui est écoeurant c'est de devoir assister à cela. Ce ne sont pas des situations qui marquent l'absence de bonne volonté mais la présence d'une vraie mauvaise volonté. Moi et NosPetitsTracasàNous, c'est encore un vendredi prévu avec mon fils et annulé au dernier moment par la maman. Là aussi des gens s'endorment paisiblement le soir en se disant je ne ferai rien pour que cela change. Mais que sont des lois sans volonté de les appliquer ? |
Mais que cherches tu à me harceler comme ça ? Tu crois que nos relations seront bonnes en te comportant comme ça ? Reçu le 13/05/06 à 16:43
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Tout cela pourrait bien sentir la vieille querelle de couple m'a fait remarquer une amie.
Elle a raison et cela est un piège dangereux.
Mais les sentiments qui peuvent animer l'expéditrice de ce message importent peu. Ce que moi même je peux en vivre et avoir envie de répondre importe également peu ici, sur ce site.
La forme ne doit pas dissimuler et piéger le fond.
... je te préviens je vais appliquer l'ordonnance si tu continues.
C'est sur cela seul qu'il faut se concentrer.
De la possibilité laissée à un individu de jouer avec la vie de l'autre, qu'il soit père ou mère, et celle d'un enfant. Car il y a un véritable pouvoir derrière cette menace.
Quel qu'en soit la raison l'enfant et sa relation avec l'autre parent n'ont en cas à être instrumentalisés de la sorte.
Si la maman de mon fils estime qu'il est préférable pour lui et dans son intérêt qu'il me voit dans le cadre restreint de l'ordonnance alors qu'elle fasse ce qu'elle à faire n'est-ce pas.
Je ne dénonce pas un individu mais des comportements, des abus.
Nous en avons tous plein nos tiroirs de ces histoires.
Je crois qu'il faut les étaler jusqu'à l'insurportable.
Mais la vindicte publique ne doit s'adresser qu'aux actes.
N'allez pas penser que tout cela m'amuse le moins du monde.
D'abord cette pression est indispensable pour continuer d'exister.
Cette remarque est valable pour moi mais aussi pour la cause des pères qui n'avancera que si chacun, individuellement et collectivement continue d'exercer une pression semblable auprès de son entourage, de ses amis, de la famille, des connaissances, de la justice, des médias, des politiques.
Pour ce qui est de ce vendredi, je n'aurai vous l'aurez compris pas pu voir mon fils et n'en connaitrai sans doute jamais la raison !
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Je me sens un peu bête avec mes sms c'est vrai.
C'est oublier les raisons, le contexte, le pourquoi.
C'est oublier que la mère d'un petit garçon de bientôt trois ans s'oppose assez brusquement et sans raison objective à ce que son papa puisse le voir et se refuse à toutes explications.
Si je ne fais et ne dit rien, cette scène sera demain oubliée et sans doute même déniée. D'autres, semblables, suivront, encore et encore, en toute impunité.
Je pose la question aux juges :
Trouvez normal de tels agissements ? Cautionnez vous de tels comportements ? Quels moyens donnez vous au parent qui n'a pas la garde de l'enfant pour se défendre de tels excès ?
Quelle place occupe l'intérêt de l'enfant dans ces situations ?
Comment le protéger ?
Violette, dans un commentaire récent fait remarquer que l'enfant vit dans son corps et dans ses émotions le conflit dont il est l'enjeu dans son monde extérieur.
C'est souvent de courte durée ! C'est bizarre en gros plan !
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Il reste un petit garçon qui ne passera pas la journée avec son papa parcequ'il est laissé à la seule discrétion de l'un des parents de permettre ou de refuser cette journée sans que l'autre parent ait le moindre recours concret et immédiat contre l'arbitraire des décisions qui lui sont imposées.
Il n'y a certainement pas mort d'homme et il y a bien plus grave.
Il ne manquera pas à mon fils cette journée qu'il n'aura pas vécu. Raisonné comme ça, il est sûr que son père, ni rien d'ailleurs, ne lui manquera jamais !!
Et il passera certainement même une excellente journée à la crêche.
Et comme j'ai moi aussi de quoi m'occuper et passer pareillement une excellente journée ou est le problème ?
On se le demande !
Je suis un peu lassé d'entendre cela comme réponse.
Encore un peu et on ferait des histoires pour rien n'est-ce pas !
Ou l'on reconnait la perennité du rôle du papa après séparation et alors on lui laisse jouer son rôle et on lui en donne les moyens ou on lui signifie son congé en même temps que se signe le divorce ou la séparation.
Les choses seraient plus claires, les deuils plus rapides.
Et si l'on veut bien reconnaitre ce rôle alors il faut aussi reconnaitre ses demandes à ce papa, de temps entre autre, et une fois encore lui donner les moyens de répondre aux refus qui lui sont opposés.
Vous en avez combien de ce genre d'anecdotes dans vos histoires ?
Comment ne pouvons nous avoir aucun recours pour nous défendre contre de tel agissements ?
Ici, maintenant, dans ce pays ?
Il y a vraiment quelque chose qui doit changer ...
Est-ce que vous considereriez que faisant quelque chose régulièrement depuis près d'un an, une sorte d'usage s'est installé et que des habitudes se sont prises ? Et ceci considéré, ne seriez vous pas surpris d'entendre soudainement quelqu'un vous affirmer qu'il n'y a nullement d'accord et d'usage sur cette question et que donc cet accord, qui n'existe pas (!), est rompu ? Au delà de l'ordonnance qui fixe mon temps avec mon fils je le prend avec moi le mercredi soir depuis un an. Il a deux ans et presque huit mois. Imagine t-on cela sans l'accord de la maman ? Mais peut-être n'était-ce pas là un accord ? Un arrangement alors ? Et qui lui pourrait se défaire comme ça ? Que faire ? Aller déposer une main courante. Aucazou ' comme on dit ! Cela me prit bien deux heures. Mais j'ai l'habitude. Ceci est un comportement répréhensible. Socialement, moralement et même légalement dans la mesure ou ce n'est pas une position à proprement parler bonne pour l'enfant. Le regard de la société semble bien tolérant et complaisant à ce sujet. Que nos histoires éveille un peu les consciences ... Sans aucune modestie. C'est cela qu'il faut dire, raconter, dénoncer .... communiquer. |